AprÚstout à quoi ça m'avance de trouver des hybrides à quoi ça me sert, je n'ai plus envie de ça je pense que je vais m'effaçai pourtant ce que je n'arrive pas à expliquer c'est que Rebekah ne veuille pas partir elle veut absolument rester la raison je ne le sais pas. Elle veut absolument que je retrouve le double, cette Elena c'est bizarre alors que je voulais tout
Une homĂ©lie de fr. RaphaĂ«l Buysse Qu'est ce qui a pu bien faire que nous soyons si souvent habitĂ©s par cette idĂ©e absurde que nous devons mĂ©riter l'amour ? »Tant qu'il parle de bonheur, de bĂ©atitudes, ça va. Mais lĂ - il en qu'il appelle des gens Ă le suivre, et qu'il les envoie au devant de lui, ça passe-Tant qu'il guĂ©rit, tant qu'il console, tant qu'il raconte des petites histoires paraboliques, on est plutĂŽt pour-Mais lĂ - c'est autre chose. Je vous dis de ne pas riposter au mĂ©chant ; si quelqu'un te gifle sur la joue droite, tends-lui l'autre. Si quelqu'un prend ta tunique, laisse-lui encore ton manteau. Si on te demande, donne ; ne tourne pas le dos ! »Et plus terrible encore Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persĂ©cutent, soyez parfait comme votre PĂšre cĂ©leste est parfait. »Et frĂšre GrĂ©goire, aprĂšs tout cela, vous dit acclamons la Parole de Dieu » ; vous rĂ©pondez la bouche en coeur louange Ă toi Seigneur JĂ©sus » !Ces paroles de JĂ©sus, on en a fait une morale. Il faut ». On doit ». Ăa s'impose ».On en a fait une dette, une Ă©preuve. Et on s'est dit on va y arriver ». Il faut viser la on a serrĂ© les dents. On a gardĂ© le sourire, un peu crispĂ©, il faut bien l'avouer. On a fait bonne figure », on sait faire ça chez les cathos. On a gardĂ© le moral, youpi. On s'est mis au travail comme des acharnĂ©s. On est devenu des bien pensants, des bien-faisants donnĂ©s, offerts, livrĂ©s, sacrifiĂ©s, acquis et quelquefois amidonnĂ©s. On s'est dit qu'Ă tout prix, il fallait ĂȘtre des gens bien », des comme il faut », des gens comme il se doit ». Des gens parfaits, quoi- Chez ces gens lĂ , Monsieur- », il manque souvent la joie profonde !SincĂšrement, vous avez, vous, envie de tendre l'autre joue quand on vous frappe ?Et vous avez envie de donner votre manteau quand il fait froid ? et de ne jamais tourner le dos ?- Pourtant, messieurs-dames, il le faut »- C'est le Seigneur qui l'a dit il faut ĂȘtre parfait comme le PĂšre cĂ©leste ».Soyons honnĂȘtes nous n'y arrivons pas ! Et nous n'y arriverons souci, c'est que nous nous en faisons de ne pas y parvenir. Le drame, c'est que nous nous en voulons. Le pire, c'est que nous en voulons aussi aux autres. Cette exigence de JĂ©sus - sans doute mal comprise - nous a conduit Ă de la culpabilitĂ©, un mot qui rime malheureusement avec humanitĂ© » .Nous entendons en ce moment au monastĂšre un beau livre sur Luther, de Michel Leplay, pasteur dans l'Eglise rĂ©formĂ©e de France. Son livre est Ă©clairant. On y dĂ©couvre bien sĂ»r que Luther avait quelques comptes Ă rĂ©gler avec une Eglise devenue n'importe quoi, qui monnayait les indulgences, oĂč les pasteurs vivaient comme des princes. Mais on y dĂ©couvre surtout l'angoisse terrible de cet homme, conscient de sa fragilitĂ©, honteux de sa mĂ©diocritĂ©, prenant conscience qu'il ne parvenait pas Ă vivre cette perfection Ă laquelle il aspirait parce qu'on l'avait Ă©levĂ© et formatĂ© dans ce sens lĂ . Il Ă©tait habitĂ© - comme tant d'hommes et de femmes d'aujourd'hui encore - par cette idĂ©e que l'amour se mĂ©rite, que la tendresse de Dieu se monnaye Ă coup de sacrifices et n'y arrivant pas, sombrait dans une dĂ©solation sans ce qui a pu bien faire que nous soyons si souvent habitĂ©s par cette idĂ©e absurde que nous devons mĂ©riter l'amour ? D'oĂč vient donc cette idĂ©e qu'il nous faut d'abord nous montrer dignes et qu'ensuite - ensuite seulement - nous serons aimĂ©s ?Cela semble venir de loin- de cette archaĂŻque conscience, enfouie au fond du fond de nous, qu'il faut payer pour vivre et qui nous fait alors mener nos vies d'une façon pesante, cumulant nos efforts disgracieux pour plaire Ă Dieu et plaire aux autres, et jouant notre vie comme des mauvais artistes contractĂ©s sur des morceaux trop difficiles, montrant Ă tous la peine que nous prenons Ă vivre-L'Ennemi - le menteur-meurtrier Ă l'origine - Ă©crit Maurice Bellet, use de la parole de Dieu pour prendre l'homme au piĂšge de la mort. Dieu n'a-t-il pas dit- ? »Dieu n'a-t-il pas dit en effet, et par JĂ©sus lui-mĂȘme, que nous devions obĂ©ir aux commandements, ĂȘtre parfaits comme notre PĂšre est parfait, dĂ©passer la justice des Pharisiens en nettoyant Ă fond le dedans de la coupe et du plat ? On vous a dit- moi je vous dis- »Ces paroles de JĂ©sus voulaient d'abord nous dire l'amour du PĂšre qui ne veut que notre vie et rien d'autre- Mais nous sommes laissĂ©s aller Ă un Ă©pouvantable contresens qui a dĂ©viĂ© nos Ă©nergies dans une certaine idĂ©e qu'on se fait du bien, de la perfection et de la saintetĂ©, figure de l'homme parfait, de l'homme accompli, que dĂ©signent, dans le langage courant du petit monde catholique, les mots redoutables de saint et de il faut que nous nous dĂ©tendions avec tous ça, les amis. Il faut que nous reconnaissions que nous n'y arriverons pas. Que nous serons toujours des intermittents de l'amour, et que notre vie oscillera toujours entre le don de soi et la rĂ©serve, entre la joie et la tristesse, entre la charitĂ© et la faut que nous reconnaissions sans plus nous lamenter que nous serons toujours balbutiants, Ă©quivoques, compliquĂ©s, entortillĂ©s, et tout penauds. Et que la saintetĂ© Ă laquelle nous sommes appelĂ©s n'a rien Ă voir avec une perfection morale, mais avec un dĂ©sir qu'il convient d'ajuster Ă la grĂące premiĂšre de Dieu. Parce qu'elle est lĂ , la Bonne Nouvelle !Il ne s'agit pas d'abord de vivre notre vie comme une bonne rĂ©ponse, mais denous laisser saisir par une Bonne Nouvelle, une nouvelle qui fait du bien Ă l'homme et qui va nous sauver, nous libĂ©rer de tout ce qui nous encombre. Elle seule est capable de nous sauver de cette demi-mort dans laquelle la culpabilitĂ© nous suis touchĂ© depuis des annĂ©es par cette parole entendue dans le livre d'EzĂ©chiel je passais prĂšs de toi, je t'ai vu et j'ai dit je veux que tu vives- »Tout le reste de l'Ecriture est ordonnĂ© à ça. Toute l'expĂ©rience du peuple d'IsraĂ«l tĂ©moigne de cela. Et la rĂ©surrection de JĂ©sus, rendu Ă l'homme pour toujours, est le signe indĂ©fectible, le signe sĂ»r, le signe constant, et le signe Ă©ternel de cette promesse lĂ . Je veux que tu vives. »Ce qui a sauvĂ© Luther de ses angoisses mĂ©taphysiques, c'est l'entendement lumineux de cette nouvelle entraperçue dans la lettre aux Romains. Non pas celle d'un Dieu qui est amour mais Bonne Nouvelle d'un Dieuqui n'est qu'amour. Bonne Nouvelle d'une grĂące offerte sans rĂ©serve Ă qui veut l'accueillir un point c'est tout. DĂ©couverte d'un Ă©vangile qui a pris le visage d'une trĂšs pure tendresse qui enveloppe tout l'homme. D'un Ă©vangile brĂ»lant, et brĂ»le tout l'homme sans jamais le liturgies se trompent et nous trompent - je l'Ă©cris avec tremblement parce que j'y consens moi-mĂȘme - quand nous passons notre temps Ă confesser nos fautes, Ă nous lamenter de nos Ă©checs et de nos misĂšres d'aimer au lieu de confesser d'abord l'amour dans condition du priĂšres font allĂ©geance Ă l'Ennemi quand elles sont contristĂ©es par la rĂ©pĂ©tition de nos incapacitĂ©s, de nos carences, de nos imperfections et de nos nos actions, si pieuses soient-elles, sont contre-tĂ©moignage quand elles ne sont pas animĂ©es de l'intĂ©rieur par la joie d'exister et de vivre avec d' sait bien qu'il y a des ascĂšses qui sont vĂ©cues sans amour de la vie, parce qu'il faut » , parce qu'on doit » . Chacun sait bien qu'il y a des efforts, des sacrifices comme on disait, qui se logent dans les carences de nos amours, et qu'il y a aujourd'hui des mortifications - mĂȘme si on ne dit plus le mot - qui ne sont que des destructions de l'homme alors qu'elles sont vĂ©cues, pense-t-on, comme des tĂ©moignages de notre amour intense de Dieu. Erreur ne s'est pas crucifiĂ© lui-mĂȘme, qu'on se le dise ! Il a seulement choisi de ne pas se dĂ©rober Ă la folie humaine pour que Dieu passe jusqu'en ce creux et que rien ne demeure en dehors de son amour. Soyez parfaits comme votre pĂšre est parfait ».Sans il s'agit d'une perfectiondans la joie d'exister, et rien d'autre. Je veux que tu vives- »Nous n'avons plus Ă nous tourmenter de notre n'avons plus Ă enrager de nos n'avons plus Ă nous tendre dans une raideur dĂ©sespĂ©rĂ©e pour nous rendre conforme Ă ce qu'il faudrait que nous soyons pour que Dieu daigne enfin abaisser son regard sur Bonne Nouvelle de l'Ă©vangile, c'est que Dieu vient vers nous, et qu'il nous aime en son Christ, et qu'il aime notre vie. Le sacrement de l'eucharistie en est un signe fort quand il fait du petit pain de nos nos existences » le signe de sa prĂ©sence Bonne Nouvelle, c'est qu'il transforme nos vieux dĂ©mons en diables de papier », comme l'Ă©crivait encore Maurice Bellet, et qu'il fait de nos fautes de vieilles peaux mortes qui sont tombĂ©es au lever du petit matin de Bonne Nouvelle, c'est que Dieu est grĂące en nous, c'est-Ă -dire don, cadeau, simple abondance et parfaite charitĂ©. Et que le cadeau qu'il nous fait, c'est notre vie, notre libertĂ©, notre joie d'exister, notre communion avec tous les ĂȘtres et avec les frĂšres qu'il nous vraie Bonne Nouvelle, c'est la foi querien ne peut nous sĂ©parer de cet insaisissable amour venu d'En-haut que nous ne pouvons ni reproduire ni maĂźtriser, bienheureuse impuissance-La grĂące nous projette hors de la prison de nos angoisses et de nos peurs. La vraie Bonne Nouvelle, c'est qu'il nous aime non pas malgrĂ© nos pauvretĂ©s, mais au travers celles-ci. Il les arrache Ă cette culpabilitĂ© qui nous abime comprenons trop peu la Bonne Nouvelle de la pouvons avec les meilleurs intentions du monde nous dĂ©vouer, nous engager, nous consacrer. Mais tout cela n'a de sens que si nous gardons dans notre coeur l'Ă©tonnement que devait avoir le paralysĂ© de l'Ă©vangile quand JĂ©sus lui a dit LĂšve-toi ! Et marche ! »..La Bonne Nouvelle de l'Ă©vangile, c'est un appel Ă cri qui nous appelle Ă exister peut-ĂȘtre quelque chose comme ça, ĂȘtre parfait comme le PĂšre ».Exister n'y a que ça d'intĂ©ressant-
Parcequ'il y a plein de petites choses que lâon fait toutes au quotidien et qui agacent profondĂ©ment les mecs, voici notre top 12 des situations qui rendent les mecs fous de jalousie. Pour
Paroles de la chanson Elena par Kofs Dis moi pourquoi tu ne me lĂąches pas Je te vois partout mĂȘme dans mes rĂȘves A l'Ă©poque je t'aimais, je le nie pas Maintenant j'aimerais bien que t'arrĂȘte J'entend parler de toi de partout Evidemment toi tu n'entends rien TâinquiĂšte je connais bien ton parcours Je te connais moi, je sais d'ou tu viens La premiĂšre fois que je t'ai vu, c'Ă©tait dans une cave C'est vrai que j'Ă©tais exciter, content de te voir C'est vrai que j'Ă©tais grave super content de t'avoir Sans savoir ton histoire, ton cotĂ© noir Puis avec le temps tu te faisais plus trop rare Ton nom ressortait que dans les salles histoires Tu traĂźnes dans tout les quartiers, tout les boulevards T'as fais pleurer des familles Elle est toujours avec moi quand je dors Et ça mĂȘme quand les ennemis m'attendent C'est vrai qu'elle a tuer beaucoup de potes Mais elle m'a aidĂ© Ă remonter la pente La petite Elena vient de l'Est, elle a pas de coeur La petite Elena vient de l'Est, mais celle-lĂ y'a personne qui lâapaise Les jeunes d'ici disent que t'es charmante Que tu les attires, que t'es canon Mais c'est que pour tirer leurs coups Pour t'avoir ils diraient pas non T'attires que les voyous, les mecs fous C'est chaud avec toi ce que les mecs font A cause de toi maman elle dort plus C'est chaud t'as rendu toutes les mĂšres folles J'aimerais ne plus jamais de ma vie te croiser Je ne veux mĂȘme plus mettre de guitare quand je chante Je sais que t'es folles, que t'as tendances Ă pĂ©ter les plombs Mais je t'en supplies laisse les dans la chambre, laisse les dans la chambre Et oublies mes frĂšres, t'as dĂ©truit nos rĂȘves Je sais que t'as saisie, si on a besoin t'inquiĂšte on te fera signe Mais pour l'instant retourne chez toi, retourne en Russie Elle est toujours avec moi quand je dors Et ça mĂȘme quand les ennemis m'attendent C'est vrai qu'elle a tuer beaucoup de potes Mais elle m'a aidĂ© Ă remonter la pente La petite Elena vient de l'Est, elle a pas de cĆur sur elle La petite Elena vient de l'Est, mais celle-lĂ y'a personne qui lâapaise Elle est toujours avec moi quand je dors Et ça mĂȘme quand les ennemis m'attendent C'est vrai qu'elle a tuer beaucoup de potes Mais elle m'a aidĂ© Ă remonter la pente La petite Elena vient de l'Est, elle a pas de cĆur sur elle La petite Elena vient de l'Est, mais celle-lĂ y'a personne qui lâapaise Elle est toujours avec moi quand je dors Et ça mĂȘme quand les ennemis m'attendent C'est vrai qu'elle a tuer beaucoup de potes Mais elle m'a aidĂ© Ă remonter la pente La petite Elena vient de l'Est, elle a pas de coeur sur elle La petite Elena vient de l'Est, mais celle-lĂ y'a personne qui lâapaise
Jveux que ça je m'en fous de briller Je n'souhaite pas devenir une star juste customiser la misÚre En Gucci, Louis, Burberry, PGP Blackberry J'défends dans la surface comme John Terry Oui c'est terrible ! J'recompte, j'recompte, j'recompte (x5) [Desko] Big up à mes ennemis, j'suis dans l'carré VIP ils ont l'démon
2. Si vous n'aimez que ceux qui vous aiment, quel grĂ© vous en saura-t-on, puisque les gens de mauvaise vie aiment aussi ceux qui les aiment ? - Et si vous ne faites du bien qu'Ă ceux qui vous en font, quel grĂ© vous en saura-t-on, puisque les gens de mauvaise vie font la mĂȘme chose ? - Et si vous ne prĂȘtez qu'Ă ceux de qui vous espĂ©rez recevoir la mĂȘme grĂące, quel grĂ© vous en saura-t-on, puisque les gens de mauvaise vie s'entre-prĂȘtent de la sorte, pour recevoir le mĂȘme avantage ? - Mais pour vous, aimez vos ennemis, faites du bien Ă tous, et prĂȘtez sans en rien espĂ©rer, et alors votre rĂ©compense sera trĂšs grande, et vous serez les enfants du TrĂšs-Haut, parce qu'il est bon aux ingrats, et mĂȘme aux mĂ©chants. - Soyez donc pleins de misĂ©ricorde, comme votre Dieu est plein de misĂ©ricorde. Saint Luc, ch. VI, v. de 32 Ă 36.
Ensuite parce que les préjugés sont confortables : vous déclarez que tous les Juifs sont des voleurs, et ça y est, vous avez votre opinion sur tous les Juifs du monde ; plus besoin de réfléchir, il suffit que vous voyiez un Juif pour le cataloguer comme voleur, et c'est tout ! Alors que la culture, et à plus forte raison l'esprit critique, implique de réfléchir, de nuancer, d
Nous savons que depuis des millĂ©naires, nous avons dâun cĂŽtĂ© âles gentilsâ et de lâautre, âles mĂ©chants.â Câest du moins ainsi que lâentendent de nombreuses personnes, rĂ©putĂ©es gentilles. En somme, nous avons les forces de la lumiĂšre qui luttent contre les forces des tĂ©nĂšbres. Prout ! Bien entendu, dans chacun des deux camps, le vilain, câest lâautre, nâest-ce pas ! Si on se base sur lâobservation de certains qui se prĂ©tendent impartiaux ben tiens !, la paix ne pourra rĂ©gner sur la Terre tant que les mĂ©chants demeureront cons en plus dâĂȘtre mĂ©chants. OK, mais est-ce bien la faute des âmĂ©chantsâ si rien nâĂ©volue depuis des millĂ©naires ? Et si câĂ©tait la faute des âgentilsâ, en fait ? Ăa vous la couperait, hein ? Cest pourtant ce quâenseigne la psychologie Ă©sotĂ©rique, du moins aux oreilles les moins frileuses⊠Selon cette antique science du âbien vivre sa recherche spirituelleâ, ce serait les ĂȘtres qui se targuent dâĂȘtre lumineux qui seraient responsables du fait que rien nâĂ©volue parmi les âvilains pas beaux mĂ©chants de partout.â Car sâil existe deux camps possibles bon/mĂ©chants, le seul fait de se cramponner Ă lâune quelconque de ces deux appartenances, oblige la partie adverse Ă se contenter du camps restant. Le simple fait de se dĂ©crĂ©ter âgentilâ engendre le pĂŽle opposĂ© complĂ©mentaire, les vilains pas beaux ! Autrement dit, le seul fait de vouloir ĂȘtre âbonâ dâune vie Ă lâautre, a obligĂ© certaines Ăąmes humaines dâun mĂȘme Soi Naturel sâentend Ă se cantonner au rĂŽle peu enviable de âmĂ©chants.â Ceci nâest guĂšre charitable, ne croyez-vous pas ? Il est dit âAimez vos ennemisâ si, si, câest dit comme ça, jurĂ© crachĂ© ! Mais comment rĂ©ussir Ă aimer cet ennemi si on dĂ©teste dĂ©jĂ le rĂŽle quâil joue, cela au point de se faire tuer plutĂŽt que de devoir sâinvestir de son rĂŽle et de sa place, pourtant seule maniĂšre de âpardonnerâ vraiment, la vision que nous avions de lui ? Aux gendarmes et aux voleurs, quel camps choisissiez-vous, Ă©tant gamins ? Les mystiques, les sages, les Ă©sotĂ©ristes, les occultistes et autres âiquesâ ou âistesâ sont de trĂšs mauvais joueurs ! Leur rĂŽle leur plaĂźt tellement quâil prĂ©fĂšrent se contenter dâaimer leurs ennemis maisâŠ. De loin ! Pas question de prendre leur place et de leur donner celle du gentil lumineux jusquâĂ lâanus ! Alors voici ce que prĂ©conisent les psychologues Ă©sotĂ©ristes, et permettez-moi de vous prĂ©senter les faits sans dĂ©tours et en termes modernes, voire un brin teintĂ©s de trivialitĂ© âĂmes prĂ©tendument lumineuses, arrĂȘtez de vous la pĂ©ter ! Puisque lâennemi en face de vous est un frĂšre, offrez-lui la seule chose qui dĂ©chirerait votre cĆur Ă la seule idĂ©e de lui offrir votre place ! Si on vous frappe, frappez aussi ! Valez-vous plus que votre frĂšre ? Continuerez-vous Ă chercher sans cesse Ă lâhumilier et Ă lâĂ©craser de votre prĂ©tendue supĂ©rioritĂ© spirituelle ? Si on se comporte envers vous comme un cochon, osez enfin grogner avec les porcs, car si vous ne le faites pas, vous ne valez pas mieux que des cochons vous-mĂȘmes. Et sâil vous faut endossez le vĂȘtement usĂ© de votre ennemi, faites-le avec bonne grĂące, car câest pour vous la seule façon de lui prouver que vous le respectez vraiment.â â Pour bien comprendre ce sujet dâune rare subtilitĂ© et ne verser dans aucun excĂšs, il faut se souvenir quâĂ la base, nous sommes âdes anges dĂ©guisĂ©s en humainsâ Nota cette assertion nâa pas Ă ĂȘtre juste, elle sert juste Ă rĂ©sumer le propos, câest tout Si nous donnons la prĂ©pondĂ©rance Ă notre partie divine ou essentielle, nous trahissons notre vĆux de devenir humains et de jouer pleinement le Jeu de la Conscience, ceci en assumant cette partie librement consentie. Si nous donnons la prĂ©pondĂ©rance Ă notre humanitĂ©, cela au point dâen oublier âQui nous sommes vraimentâ, nous pouvons nous transformer en lâun de ces monstrueux animaux de foire et trahir ainsi notre partie divine qui existera nĂ©anmoins mais en arriĂšre plan pas pour nous. LâidĂ©e nâest ni de se la jouer Grand MaĂźtre initiĂ© jusquâau slip, ni de se comporter comme un porc juste pour ne pas vexer par notre lumiĂšre les plus cochons dâentre nous ! LâidĂ©e est de bien comprendre ce qui se passe lĂ , sur Terre, maintenant, dans notre vie et sous notre nez ! Et il se passe que si le cochon peut nous instruire en se comportant tel un immonde porc, alors notre refus de lâaimer et de lâaccepter âen lâĂ©tatâ par exemple consiste en notre part du marchĂ© des relations humano-animiques si le terme vous plaĂźt, je vous le vend ! Plus simplement encore, on va dire que vous avez vous-mĂȘmes le devoir fraternel dâĂȘtre le karma de celui qui joue au chieur de premiĂšre sous lâexcuse dâĂȘtre votre propre karma ! Si vous faites mine de lâaimer tel quâil est, de le pardonner, de voir en lui seulement le frĂšre, etc et une petite gĂąterie, aussi, non ? que faites vous en vĂ©ritĂ© ? Eh bien ! Je vais vous le dire, moi, ce que vous faites âVous devenez coupable de guerre et de lĂąchetĂ© spirituelle Ă chaque fois que vous ne jouez pas le rĂŽle que la vie vous a dĂ©volu et que vous prĂ©fĂ©rez la solution de facilitĂ© et dâhypocrisie en confrontant une prĂ©tendue lumiĂšre de Prisunic Ă une vĂ©ritable action nĂ©gative et destructrice.â Il est temps, pour les spiritualistes modernes, de laisser tomber non pas seulement leur ego, qui lui est Ă sa place et joue dĂ©jĂ parfaitement son rĂŽle, mais leur Moi-IdĂ©alisĂ©, ce âmoiâ de procuration inventĂ© pour la circonstance et supposĂ© ĂȘtre capable de leur faire oublier quâils ne sont, sommes toutes, que de simples ĂȘtres humains, comme tous les autres, Ă la seule diffĂ©rence quâils le vivent encore plus mal que les autres ! LidĂ©e nâest pas de ârendre le mal pour le malâ, mais vous devez au moins jouer votre rĂŽle dâĂȘtre humain digne de ce nom. Si vous ĂȘtes indignĂ©, dites-le ! Si vous trouvez que les actes dâautrui sont Ă gerber, gerbez-leur donc sur la braguette, ça leur apprendra Ă choisir un comportement un brin plus harmonieux ! Nota leur vomir dans le corsage si ce sont des femmes, est aussi autorisĂ© par Dieu si vous ĂȘtes capables de vous lâautoriser. Bref, vous lâavez compris, jouer le jeu Ă©quivaut Ă rĂ©agir âtel que vousâ et non plus âtel que cette version idĂ©alisĂ©e de vous-mĂȘmes.â Vous ne deviendrez pas meilleur en trichant, vous serez simplement lâombre de ce que vous auriez pu ĂȘtre, si vous aviez seulement Ă©tĂ©, vĂ©ritablement. Serge Baccino Note Sauf pour les images, trouvĂ©es sur le Web et rĂ©putĂ©es libres et gratuiteseXWO8d.