Paul&' Esha ] Il faut aimer ses ennemis. Ca les rend fous. ^ La raison de ma venue dans cette ville a toujours été trÚs clair : me venger et récupérer ce qui m Ca les rend fous. ^ La raison
Meilleurs Ennemis est le 20Ăšme Ă©pisode de la saison 5 et a Ă©tĂ© diffusĂ© le 29 avril 2010 sur CW. Il a Ă©tĂ© suivi en moyenne par 2,379 millions de tĂ©lĂ©spectateurs. Synopsis[] DĂ©terminĂ©s Ă  retrouver les deux derniers anneaux susceptibles de piĂ©ger Lucifer, Sam et Dean sont Ă  la recherche de Peste. Plusieurs villes ont Ă©tĂ© contaminĂ©es par une Ă©pidĂ©mie de grippe foudroyante. Mais Ă  l'arrivĂ©e des Winchester, Peste est dĂ©jĂ  loin, prĂšs Ă  atteindre sa prochaine cible. Le dĂ©mon Crowley propose Ă  Dean et Ă  Sam de les aider, et les met sur la piste de Brady, un dĂ©mon qui leur permettra de remonter jusqu'Ă  Peste. RĂ©sumĂ© dĂ©taillĂ©[] RĂ©sumĂ© des Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents. Dans un laboratoire. Deux chercheurs discutent du dernier vaccin mis au point contre la grippe A. L'un des deux pense qu'il est prĂ©maturĂ© de dĂ©buter des tests sur les humains, ils n'ont eux-mĂȘme jamais vu le vaccin. L'agent d'entretien injetce alors le produit dans le cou d'un des chercheurs, et les enferme dans le labo. L'homme qui a reçu l'injection est alors pris d'une pulsion meurtriĂšre et se jette sur son collĂšgue, sous le regard satisfait de l'agent possĂ©dĂ©. *****************************SUPERNATURAL*********************** A l'hopitĂąl. Dean et Sam sont venus enquĂȘter sur la soudaine Ă©pidĂ©mie de grippe A. A part le fait qu'il y a un jour et demi il n'y avait aucun cas, et que maintenant il y a Ă©pidĂ©mie, le mĂ©decin n'a rien remarquĂ© d'inhabituel chez les patients. Rien qui signalerait la prĂ©sence du virus Croatoan. Sur la route. Dean et Sam font un rapport Ă  Bobby. Ils ne comprennent pas que Pestilence se contente d'une grippe A. Bobby leur rappelle qu'il y a dĂ©jĂ  quatre villes contaminĂ©es. Sans plus d'indications, il leur dit de se diriger vers l'Est. Crowley apparaĂźt alors sur la banquette arriĂšre de la Chevy. Dean freine brusquement, mais Sam n'a pas le temps de poignarder le dĂ©mon que celui-ci les attend dĂ©jĂ  Ă  l'extĂ©rieur. Les boys sont peu enclins Ă  parler calmement, Sam en particulier. Crowley jure qu'il ne savait pas que le Colt n'aurait aucun effet sur Lucifer, et maintenant, il est le dĂ©mon le plus recherchĂ© de l'Enfer. Mais il tient Ă  les aider Ă  rĂ©cupĂ©rer les anneaux qui leur manquent pour piĂ©ger le Diable. Il sait Ă©galement comment retrouver Pestilence et finit par convaincre les boys de le suivre. Chez Crowley. Les boys et le dĂ©mon entrent dans ce qu'il reste de sa maison. Crowley leur explique qu'il les a retrouvĂ© grĂące Ă  une piĂšce de monnaie ensorcelĂ©e qui fonctionne comme un mouchard dĂ©moniaque. Il sait donc ce qu'est le plan et souhaite en ĂȘtre. Il connaĂźt le dĂ©mon en charge des Cavaliers, et promet qu'il marchandera avec lui afin qu'il leur rĂ©vĂšle oĂč se trouve Pestilence. Dean, suspicieux mais intĂ©ressĂ©, accepte l'offre. Salle de rĂ©union, laboratoire Nevo. Le patron, Brady, demande Ă  ses employĂ©s d'accĂ©lĂ©rer la cadence afin que le vaccin soit rapidement mis sur le marchĂ©. L'un des employĂ©s, Micthell, explique que les tests ne sont pas encore au point et qu'ils font de leur mieux. Brady leur ordonne de faire mieux que mieux. Bureau de Brady. Mitchell entre. Pensant se faire rĂ©primander pour son attitude lors de la rĂ©union, il se voit en fait offrir une promotion. NaĂŻvement, il accepte. Brady lui tranche la gorge et receuille le sang. Il prononce une incantation en latin afin de parler Ă  Pestilence, qui se manifeste sous forme de mouches. Brady apprend au Cavalier que les tests sont positifs, et mĂȘme s'il sera difficile de distribuer le vaccin rapidement Ă  une si grand Ă©chelle, mais il fera de son mieux. Chea Crowley. Les boys prĂ©parent leurs affaires pour leur expĂ©dition. Crowley vient chercher Dean, ne dĂ©sirant pas que Sam vienne. Sam refuse d'ĂȘtre laissĂ© en arriĂšre, et devant l'absence de rĂ©action de Dean, Crowley fait semblant de s'en aller. Dean accepte finalement de le suivre, sous le regard Ă©berluĂ© de Sam, qui finalement se retrouve seul. Sam profite de son temps libre pour faire un rapport de la situation Ă  Bobby. Bien que celui-ci ne soit pas fan des dĂ©mons, il ne pense pas que faire confiance Ă  Crowley soit forcĂ©ment une mauvaise idĂ©e, vu la situation. Sam demande alors Ă  Bobby comment il a procĂ©dĂ© pour contrĂŽler le dĂ©mon en lui quand il Ă©tait possĂ©dĂ©. Bobby, inquiet de cette question, lui demande de s'expliquer. Sam a pensĂ© que pour s'assurer que Lucifer saute bien dans sa cage, il devrait peut-ĂȘtre jouer son rĂŽle de rĂ©ceptacle. Bobby lui ĂŽte de suite cette idĂ©e folle de la tĂȘte, il ne pourra pas contrĂŽler le Diable, n'Ă©tant pas capable de se contrĂŽler lui-mĂȘme. Dean et Crowley Ă©valuent la situation devant les bureaux des Labos Nevo. Crowley entre et tue toutes les personnes au rez-de-chaussĂ©e, ce qui scandalise Dean, complĂštement impuissant. Puis Crowley pousse Dean dans l'ascenseur, prĂ©cisant qu'il n'ira pas avec lui car l'Ă©tage est plein de dĂ©mons, mais il assure Ă  Dean que tout se passera bien s'il fait comme il le lui a expliquĂ©. Dean, peut rassurĂ©, prĂ©pare le couteau. Brady ouvre la porte de son bureau, invitant Dean Ă  y entrer. Dean s'asseoit, et propose un marchĂ© Ă  Brady. Il le suit sans faire d'histoires, et s'il accepte leur proposition, ils lui rendront les anneaux de Famine et War. Brady apprend Ă  Dean que mĂȘme si les deux Cavaliers nommĂ©s retrouvaient leurs anneaux, ils ne recouvriraient pas leurs pouvoirs. En revanche, il souhaite se venger, et est ravi que Dean se soit offert Ă  lui. Dean se fait jetĂ© hors du bureau, et Brady commence Ă  se dĂ©fouler avec plaisir sur lui. Dean, poursuivi par Brady, se rĂ©fugie dans l'ascenseur. ArrivĂ© au rez-de-chaussĂ©e, il sort prudemment, mais Brady l'attaque par derriĂšre. C'est alors que Crowley dĂ©cide d'agir, il met un sac sur la tĂȘte de Brady et l'assomme. Son plan a fonctionnĂ© Ă  merveilles, car effectivement, comme le fait remarquĂ© Dean, c'Ă©tait l'aĂźnĂ© des Winchester que le dĂ©mon voulait. Sur la route. Crowley grave un piĂšge Ă  dĂ©mons sur le torse de Brady, afin que son hĂŽte ne puisse s'enfuir. Il demande alors Ă  Dean de ne pas retourner chez lui, afin que Sam ne voie Brady, car ils ont une certaine "histoire" ensemble. Dean freine, et demande des explications. Sam rejoint Crowley. Ce dernier lui explique que lui ne voulait pas revenir, c'est Dean qui a insistĂ©, puis il le laisse passer. Sam rejoint Dean, affairĂ© Ă  attacher Brady. Dean demande Ă  Sam de rester concentrĂ©, et il assure qu'il lui fait confiance. Sam ne comprend pas, jusqu'Ă  ce que Brady se manifeste et que Dean lui enlĂšve son sac. Brady n'Ă©tait autre que le meilleur ami de Sam Ă  l'UniversitĂ© de Stanford. Sam se rend compte que toute sa vie, il a Ă©tĂ© manipulĂ© par les dĂ©mons, et le pire, c'est que c'est Brady qui l'a prĂ©sentĂ© Ă  Jessica. Pris d'un excĂšs de rage, il s'apprĂȘte Ă  sauter sur Brady, mais Dean le retient et l'Ă©loigne du dĂ©mon. Il supplie Sam de se contrĂŽler, car ils ont besoin de Brady pour trouver Pestilence, c'est leur seul moyen, bien que Sam, aveuglĂ© par la colĂšre, n'en soit pas convaincu. Crowley essaie de convaincre Brady de changer de camps, en lui expliquant que Lucifer, une fois qu'il aura fait de la Terre son royaume, ne les Ă©pargnera pas. Brady sait qu'il va mourir, quoiqu'il fasse, et il sait aussi que la situation de Crowley est plus dramatique, car Lucifer le fera torturer toute l'Ă©ternitĂ©. Brady refuse l'offre de Crowley, et celui-ci dĂ©cide alors de s'en aller, en prĂ©cisant Ă  Dean qu'il va casser du dĂ©mon. Il part avec certains encouragements pour le chasseur. Dean se rafraichit dans la salle de bain, et Sam profite de l'occasion pour l'enfermer. Il se dirige vers Brady, le laisse expliquer comment il a amenĂ© Jessica dans sa vie afin qu'il reste sous contrĂŽle d'Azazel, et enfin, comment il a tuĂ© la jeune femme. Puis Sam s'apprĂȘte Ă  lui trancher la gorge, sous les encouragements du dĂ©mon qui jubile de la situation. Mais Sam se ravise, et s'Ă©loigne, laissant Brady ricaner. Sam libĂšre Dean. Celui-ci s'assure que Brady est toujours vivant. Crowley rĂ©apparaĂźt, et apparemment, il s'est battu. Il informe Brady qu'aux yeux des loyaux suivants de Lucifer, il est dĂ©sormais un traĂźtre, tout comme lui-mĂȘme, et que par consĂ©quent il aura droit aux mĂȘmes chĂątiments. Il n'a donc plus aucune raison de ne pas coopĂ©rer. Soudain, un hurlement retentit, indiquant la prĂ©sence des Chiens de l'Enfer, qui ont suivi Crowley Ă  cause du mouchard dĂ©moniaque qu'il porte sur lui. Il lance le mouchard Ă  Dean et s'Ă©clipse, les laissant dans le pĂ©trin. Dean part chercher du sel, tandis que Sam garde un oeil sur Brady, les suppliant de s'enfuir. Dean s'apprĂȘte Ă  prendre le sel, lorsque la meute fait irruption par la fenĂȘtre. Dean rejoint Sam, en abattant les Chiens monstrueux un par un. Il se trouve Ă  court de munitions alors qu'il reste un molosse, prĂȘt Ă  bondir. Crowley rĂ©apparaĂźt, accompagnĂ© par son Chien, et ordonne Ă  la bĂȘte d'attaquer l'autre. Les boys, Crowley et Brady profitent de la situation pour partir. Dans un cul-de-sac sombre. Brady livre l'endroit oĂč se trouve Pestilence. Crowley assure Ă  Dean qu'il ne peut plus mentir dĂ©sormais. Puis le dĂ©mon s'en va, laissant Sam s'occuper de Brady sous la surveillance de Dean. Brady tente de dĂ©sarçonnĂ© Sam, en lui disant Ă  quel point il n'est pas diffĂ©rent des dĂ©mons qu'il chasse, et c'est pour ça qu'il les dĂ©teste tant, mais Sam garde son sang-froid, et abat le dĂ©mon. Chez Bobby. Le vieux chasseur prend des renseignements auprĂšs de Rufus, qui n'a rien trouvĂ© d'intĂ©ressant. Il raccroche, et se retourne pour trouver Crowley, qui vient an alliĂ©. Le dĂ©mon connaĂźt un moyen pour localiser Death, mais pour ça, il a besoin de l'Ăąme de Bobby. Ce ne serait qu'un prĂȘt temporaire, il promet de le lui rendre une fois les choses terminĂ©es. Bobby rĂ©pond par des coups de feu. Crowley assure qu'il souhaite voir autant que Bobby et les boys Lucifer retourner dans sa cage, sa propre vie en dĂ©pend. Il rĂ©itĂšre sa promesse de lui rendre son Ăąme. Bobby, bien qu'extrĂȘmement suspicieux, rĂ©flĂ©chit Ă  la proposition. Casting[] Personnages Principaux[] Jared Padalecki est Sam Winchester Jensen Ackles est Dean Winchester Personnages RĂ©currents[] Jim Beaver est Bobby Singer Mark Sheppard est Crowley InvitĂ©s[] Eric Johnson est Brady CrĂ©atures et lĂ©gendes Ă©voquĂ©es[] DĂ©mons Brady DĂ©mons des croisements Crowley Chiens de l'Enfer Notes[] Cet Ă©pisode marque la premiĂšre fois oĂč Crowley montre qu'il est capable de contrĂŽler un chien de l'enfer. Photos[] Épisodes de la saison 5 Sympathie envers le Diable Premier Pas vers l'Enfer Seuls sur la route Apocalypse 2014 Idoles assassines L'AntĂ©christ Jeu d'argent, jeu de temps TĂ©lĂ©portation Les Incroyables Aventures de Sam et Dean Les FaucheusesVol au-dessus d'un nid de dĂ©mons L'Apprenti sorcier Le Retour d'Anna Passions dĂ©vorantesLes Morts-Vivants Axis Mundi ProphĂ©ties funestes Plan B Le PanthĂ©on Meilleurs Ennemis La OnziĂšme Heure La paix viendra Tienc'est Ă©trange jamais je me suis dit quelque chose comme ça et ça veut dire deux chose: la premiĂšre je n'ai plus aussi peur de ma mĂšre et deuxiĂšmement je tien Ă©normĂ©ment Ă  Sacha. -ça c'est passer comment dans le bureau de ma mĂšre ? Dit-je en lui donnant une assiette. Elle parĂ©e troublĂ© et ne rĂ©pond rien. You are here Home / À fleur de peau / Les 10 pires ennemis du sommeil d’une maman !En 8 ans, je l’avoue, des fois j’ai pensĂ© que l’humanitĂ© faisait un complot contre moi pour que je ne puisse pas dormir
 De quoi d’arrangĂ© avec le gars des vues là
. Voici donc le top 10 de mes pires ennemis de toute la planĂšte entiĂšre ! 1- Le chien de la voisine Ă  l’heure de la sieste ! En congĂ© de maternitĂ©, j’en ai presque fait une psychose des chiens des voisins
 Surtout lorsque deux chiens se rencontrent et qu’ils jappent jusqu’au coin de la rue ! Genre ça me piquait sur les bras tellement je n’en pouvais plus ! Comprenez-moi bien, J’ADORE les chiens mais pas ceux qui jappent pendant que mon bĂ©bĂ© fait son dodo ! 2-Le choo-choo du train Ă  3h du matin Parce que oui, il y a des villes comme la mienne oĂč le choo-choo n’a pas une interdiction de choo-chooer
 Pis on dirait qu’il trouve ça drĂŽle de le faire la nuit quand tout le monde dort paisiblement, des fois, je l’entends me dire GNA ! GNA ! GNA ! GNA ! GNA ! Tu dormiras pas-euh!». Plus vieux, c’est plus cute quand Ă  2 ans le p’tit se rĂ©veille en criant Maman Ă©coute c’est Thomas le train !»  Cute mais Ă  quel point ?!?! 3-Les freins du camion de poubelles Est-ce que c’est un problĂšme gĂ©nĂ©ralisĂ© les camions de poubelles avec les freins qui grincent ? À noter, si comme moi vous habitez sur le coin de la rue, c’est pire parce qu’il passe environ trente-douze fois
. C’est dĂ©jĂ  full bruyant quand ils ramassent la poubelle et que ça claque sur le bord du camion, encore faut-il que je l’entende arriver trois rues plus loin. YO ! Camion de poubelle, t’es pas un char allĂ©gorique, c’est pas SI excitant que ça de t’entendre arriver le jeudi matin Ă  6h30 quand je venais de calmer le plus jeune d’une terreur nocture. compostmaisonpourtoutlemondeMAINTENANT 4-Le ding dong de la sonnette d’entrĂ©e J’aimerais pas ĂȘtre la personne qui vend des t-shirts et qui me voit arriver avec ma face de tueuse en sĂ©rie lorsqu’elle sonne Ă  ma porte
 Je devrais dire sonnait, depuis que j’ai des enfants, j’ai arrachĂ© la sonnette d’entrĂ©e
 À part me rendre folle, elle ne me servait Ă  rien anyway. Bebye sonnette see you dans 20 ans. 5-La planche du plancher du corridor qui craque Il y en a toujours une Ă  Ă©viter. Une coquine qui craque plus que les autres
 C’est rustique, ça fait vraiment vintage mais seriously, quand tu n’as pas dormi depuis deux jours et qu’elle s’amuse Ă  faire son petit scrouinnnchhhh ! C’est vraiment moins coquin la planche ! 6-Le dĂ©tecteur de fumĂ©e qui part parce que vous avez eu la brillante idĂ©e de faire des biscuits Les enfants dorment, pourquoi ne pas rendre le temps profitable, dĂ©marrer le four pour popotter des biscuits ou un bon plat pour le souper
 C’est cute pis ça fait vraiment Canal Vie, jusqu’à ce que
 LE DÉTECTEUR DE FUMÉE se mette Ă  chanter son BIPPPPPP ! en LAMajeur. Envoye, le linge Ă  vaisselle pour faire du vent, mais il est dĂ©jĂ  trop tard. Le p’tit braille et devient inconsolable. Dans la mĂȘme catĂ©gorie -Le bruit du four qui sonne pour te dire qu’il a prĂ©chauffĂ© -Le bruit de la porte du frigo qui sonne pour te dire que la porte est mal fermĂ©e -Le bip du micro-ondes qui t’annonce que ton cafĂ© rĂ©chauffĂ© de ce matin est prĂȘt D’ailleurs, Ă  ce sujet, je suis rendue une pro pour peser sur le piton quand il reste deux secondes pour l’empĂȘcher de sonner. Genre deux saltos, un flip avant et TOW ! Je l’ai ! 7-La porte qui grince en sortant de la chambre Juste une chose Ă  dire Jig-a-loo avant de vous faire pogner
 8- Le tĂ©lĂ©phone qui sonne et vous vous rendez compte que vous l’avez oubliĂ© dans la chambre de bĂ©bĂ© Vous avez rĂ©ussi Ă  Ă©viter la porte qui grince, la planche du plancher qui craque vous vous installez pour plier des bobettes tranquille quand soudain, le tĂ©lĂ©phone sonne
 FUDGE ! Vous l’avez oubliĂ© sur le petit bureau Ă  cĂŽtĂ© de la basinette de bĂ©bé  9-Le plus vieux qui vous appelle avec un puissant MAMAN ! AprĂšs une heure de berçage de ’dodo-ti-ti-ti-maman’’ bĂ©bĂ© s’est endormi paisiblement
 Vous pensez que tout est gagnĂ© quand le plus vieux vous appelle et veut ĂȘtre certain que vous l’entendiez. Il met le volume de ses cordes vocales Ă  72 en vous swignant un franc MA-MAAAAAAAAANNNNNNNNN ! J’ai fini mon dodo !». Vous l’aimez votre plus grand, mais sans le vouloir vos dents se mettent Ă  grincer en serrant un mĂ©ga CHHHUuuuuuuttttttt !!!!». Étrangement, c’est souvent notre chut qui rĂ©veille le plus jeune, mais ça je ne l’ai jamais compris ! 10-Le boom boom des ados dans leur char pour faire leurs frais MĂ©a culpa aux parents que j’ai rĂ©veillĂ©s avec ma musique dans mon char, genre je pensais que j’étais cool quand j’écoutais le son trop fort. J’avais l’impression que j’étais quelqu’un
 Maintenant, je sais que tout ce que je faisais c’était te faire suer en rĂ©veillant tes enfants. Je suis une adulte et je sais maintenant que c’est PAS COOL ! Vite de mĂȘme j’ai l’air un peu folle et peu tolĂ©rante
 C’est pas ça, c’est que les 10 pires ennemis s’entre-croisent souvent dans une mĂȘme semaine ou un mĂȘme mois ce qui fait qu’un jour, un ĂȘtre normalement constituĂ© a besoin d’une petite pause syndicale ou d’un peu de sommeil. Les gens autour de vous pensent que vous virez folle et vous aussi par boute ? Des fois ça arrive, vous avez presque les larmes aux yeux
 Ça coule et vous ne comprenez pas pourquoi 
 Sachez que VOUS ÊTES NORMALES
PROMIS-JURÉ-CRACHÉ. Parole de ma paupiĂšre qui sautille tu-seule de fatigue des fois 😉 Aimezvos ennemis, ça les fait chier ‱ Des millions d'Ɠuvres originales, imaginĂ©es par des artistes indĂ©pendants. Trouvez votre bonheur. Nov 29 2015 Aimez vos ennemis. Cela les rend fous de colĂšre. Autres citations que vous pourriez aimer By Angel ‱ blague, blague amour swag, blague d'amour courte, blague d'amour facebook, humour, lol, mdr ‱ 0 ‱ Tags aimez, amour swag, blague, colĂšre, d'amour courte, d'amour facebook, ennemi, humour, lol, mdr Laisser un commentaire Citations AlĂ©atoiresCitation courte L’initiative est chose individuelle. – marcelin berthelot L’initiative est chose individuelle. » – marcelin berthelot Autres citations que vous pourriez aimer Citation françoise hardy En studio, le lien familial ou amical est secondaire. Ce qui compte, c’es... En studio, le lien familial ou amical est secondaire. Ce qui compte, c’est la prestation. » – françoiseCitation nicole kidman L’ambition est un sentiment extrĂȘmement noble. Ce qui la pervertit, c’est l... L’ambition est un sentiment extrĂȘmement noble. Ce qui la pervertit, c’est l’obsession. » –HomeAvez-Vous DĂ©jĂ  Une idĂ©e Blagues et Humour Conseils Utiles Le saviez-vous ? Messages et Sms d’amour PensĂ©es de Filles Sais tu aimer ? Saviez-vous que

AprÚstout à quoi ça m'avance de trouver des hybrides à quoi ça me sert, je n'ai plus envie de ça je pense que je vais m'effaçai pourtant ce que je n'arrive pas à expliquer c'est que Rebekah ne veuille pas partir elle veut absolument rester la raison je ne le sais pas. Elle veut absolument que je retrouve le double, cette Elena c'est bizarre alors que je voulais tout

Une homĂ©lie de fr. RaphaĂ«l Buysse Qu'est ce qui a pu bien faire que nous soyons si souvent habitĂ©s par cette idĂ©e absurde que nous devons mĂ©riter l'amour ? »Tant qu'il parle de bonheur, de bĂ©atitudes, ça va. Mais lĂ - il en qu'il appelle des gens Ă  le suivre, et qu'il les envoie au devant de lui, ça passe-Tant qu'il guĂ©rit, tant qu'il console, tant qu'il raconte des petites histoires paraboliques, on est plutĂŽt pour-Mais lĂ - c'est autre chose. Je vous dis de ne pas riposter au mĂ©chant ; si quelqu'un te gifle sur la joue droite, tends-lui l'autre. Si quelqu'un prend ta tunique, laisse-lui encore ton manteau. Si on te demande, donne ; ne tourne pas le dos ! »Et plus terrible encore Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persĂ©cutent, soyez parfait comme votre PĂšre cĂ©leste est parfait. »Et frĂšre GrĂ©goire, aprĂšs tout cela, vous dit acclamons la Parole de Dieu » ; vous rĂ©pondez la bouche en coeur louange Ă  toi Seigneur JĂ©sus » !Ces paroles de JĂ©sus, on en a fait une morale. Il faut ». On doit ». Ça s'impose ».On en a fait une dette, une Ă©preuve. Et on s'est dit on va y arriver ». Il faut viser la on a serrĂ© les dents. On a gardĂ© le sourire, un peu crispĂ©, il faut bien l'avouer. On a fait bonne figure », on sait faire ça chez les cathos. On a gardĂ© le moral, youpi. On s'est mis au travail comme des acharnĂ©s. On est devenu des bien pensants, des bien-faisants donnĂ©s, offerts, livrĂ©s, sacrifiĂ©s, acquis et quelquefois amidonnĂ©s. On s'est dit qu'Ă  tout prix, il fallait ĂȘtre des gens bien », des comme il faut », des gens comme il se doit ». Des gens parfaits, quoi- Chez ces gens lĂ , Monsieur- », il manque souvent la joie profonde !SincĂšrement, vous avez, vous, envie de tendre l'autre joue quand on vous frappe ?Et vous avez envie de donner votre manteau quand il fait froid ? et de ne jamais tourner le dos ?- Pourtant, messieurs-dames, il le faut »- C'est le Seigneur qui l'a dit il faut ĂȘtre parfait comme le PĂšre cĂ©leste ».Soyons honnĂȘtes nous n'y arrivons pas ! Et nous n'y arriverons souci, c'est que nous nous en faisons de ne pas y parvenir. Le drame, c'est que nous nous en voulons. Le pire, c'est que nous en voulons aussi aux autres. Cette exigence de JĂ©sus - sans doute mal comprise - nous a conduit Ă  de la culpabilitĂ©, un mot qui rime malheureusement avec humanitĂ© » .Nous entendons en ce moment au monastĂšre un beau livre sur Luther, de Michel Leplay, pasteur dans l'Eglise rĂ©formĂ©e de France. Son livre est Ă©clairant. On y dĂ©couvre bien sĂ»r que Luther avait quelques comptes Ă  rĂ©gler avec une Eglise devenue n'importe quoi, qui monnayait les indulgences, oĂč les pasteurs vivaient comme des princes. Mais on y dĂ©couvre surtout l'angoisse terrible de cet homme, conscient de sa fragilitĂ©, honteux de sa mĂ©diocritĂ©, prenant conscience qu'il ne parvenait pas Ă  vivre cette perfection Ă  laquelle il aspirait parce qu'on l'avait Ă©levĂ© et formatĂ© dans ce sens lĂ . Il Ă©tait habitĂ© - comme tant d'hommes et de femmes d'aujourd'hui encore - par cette idĂ©e que l'amour se mĂ©rite, que la tendresse de Dieu se monnaye Ă  coup de sacrifices et n'y arrivant pas, sombrait dans une dĂ©solation sans ce qui a pu bien faire que nous soyons si souvent habitĂ©s par cette idĂ©e absurde que nous devons mĂ©riter l'amour ? D'oĂč vient donc cette idĂ©e qu'il nous faut d'abord nous montrer dignes et qu'ensuite - ensuite seulement - nous serons aimĂ©s ?Cela semble venir de loin- de cette archaĂŻque conscience, enfouie au fond du fond de nous, qu'il faut payer pour vivre et qui nous fait alors mener nos vies d'une façon pesante, cumulant nos efforts disgracieux pour plaire Ă  Dieu et plaire aux autres, et jouant notre vie comme des mauvais artistes contractĂ©s sur des morceaux trop difficiles, montrant Ă  tous la peine que nous prenons Ă  vivre-L'Ennemi - le menteur-meurtrier Ă  l'origine - Ă©crit Maurice Bellet, use de la parole de Dieu pour prendre l'homme au piĂšge de la mort. Dieu n'a-t-il pas dit- ? »Dieu n'a-t-il pas dit en effet, et par JĂ©sus lui-mĂȘme, que nous devions obĂ©ir aux commandements, ĂȘtre parfaits comme notre PĂšre est parfait, dĂ©passer la justice des Pharisiens en nettoyant Ă  fond le dedans de la coupe et du plat ? On vous a dit- moi je vous dis- »Ces paroles de JĂ©sus voulaient d'abord nous dire l'amour du PĂšre qui ne veut que notre vie et rien d'autre- Mais nous sommes laissĂ©s aller Ă  un Ă©pouvantable contresens qui a dĂ©viĂ© nos Ă©nergies dans une certaine idĂ©e qu'on se fait du bien, de la perfection et de la saintetĂ©, figure de l'homme parfait, de l'homme accompli, que dĂ©signent, dans le langage courant du petit monde catholique, les mots redoutables de saint et de il faut que nous nous dĂ©tendions avec tous ça, les amis. Il faut que nous reconnaissions que nous n'y arriverons pas. Que nous serons toujours des intermittents de l'amour, et que notre vie oscillera toujours entre le don de soi et la rĂ©serve, entre la joie et la tristesse, entre la charitĂ© et la faut que nous reconnaissions sans plus nous lamenter que nous serons toujours balbutiants, Ă©quivoques, compliquĂ©s, entortillĂ©s, et tout penauds. Et que la saintetĂ© Ă  laquelle nous sommes appelĂ©s n'a rien Ă  voir avec une perfection morale, mais avec un dĂ©sir qu'il convient d'ajuster Ă  la grĂące premiĂšre de Dieu. Parce qu'elle est lĂ , la Bonne Nouvelle !Il ne s'agit pas d'abord de vivre notre vie comme une bonne rĂ©ponse, mais denous laisser saisir par une Bonne Nouvelle, une nouvelle qui fait du bien Ă  l'homme et qui va nous sauver, nous libĂ©rer de tout ce qui nous encombre. Elle seule est capable de nous sauver de cette demi-mort dans laquelle la culpabilitĂ© nous suis touchĂ© depuis des annĂ©es par cette parole entendue dans le livre d'EzĂ©chiel je passais prĂšs de toi, je t'ai vu et j'ai dit je veux que tu vives- »Tout le reste de l'Ecriture est ordonnĂ© Ă  ça. Toute l'expĂ©rience du peuple d'IsraĂ«l tĂ©moigne de cela. Et la rĂ©surrection de JĂ©sus, rendu Ă  l'homme pour toujours, est le signe indĂ©fectible, le signe sĂ»r, le signe constant, et le signe Ă©ternel de cette promesse lĂ . Je veux que tu vives. »Ce qui a sauvĂ© Luther de ses angoisses mĂ©taphysiques, c'est l'entendement lumineux de cette nouvelle entraperçue dans la lettre aux Romains. Non pas celle d'un Dieu qui est amour mais Bonne Nouvelle d'un Dieuqui n'est qu'amour. Bonne Nouvelle d'une grĂące offerte sans rĂ©serve Ă  qui veut l'accueillir un point c'est tout. DĂ©couverte d'un Ă©vangile qui a pris le visage d'une trĂšs pure tendresse qui enveloppe tout l'homme. D'un Ă©vangile brĂ»lant, et brĂ»le tout l'homme sans jamais le liturgies se trompent et nous trompent - je l'Ă©cris avec tremblement parce que j'y consens moi-mĂȘme - quand nous passons notre temps Ă  confesser nos fautes, Ă  nous lamenter de nos Ă©checs et de nos misĂšres d'aimer au lieu de confesser d'abord l'amour dans condition du priĂšres font allĂ©geance Ă  l'Ennemi quand elles sont contristĂ©es par la rĂ©pĂ©tition de nos incapacitĂ©s, de nos carences, de nos imperfections et de nos nos actions, si pieuses soient-elles, sont contre-tĂ©moignage quand elles ne sont pas animĂ©es de l'intĂ©rieur par la joie d'exister et de vivre avec d' sait bien qu'il y a des ascĂšses qui sont vĂ©cues sans amour de la vie, parce qu'il faut » , parce qu'on doit » . Chacun sait bien qu'il y a des efforts, des sacrifices comme on disait, qui se logent dans les carences de nos amours, et qu'il y a aujourd'hui des mortifications - mĂȘme si on ne dit plus le mot - qui ne sont que des destructions de l'homme alors qu'elles sont vĂ©cues, pense-t-on, comme des tĂ©moignages de notre amour intense de Dieu. Erreur ne s'est pas crucifiĂ© lui-mĂȘme, qu'on se le dise ! Il a seulement choisi de ne pas se dĂ©rober Ă  la folie humaine pour que Dieu passe jusqu'en ce creux et que rien ne demeure en dehors de son amour. Soyez parfaits comme votre pĂšre est parfait ».Sans il s'agit d'une perfectiondans la joie d'exister, et rien d'autre. Je veux que tu vives- »Nous n'avons plus Ă  nous tourmenter de notre n'avons plus Ă  enrager de nos n'avons plus Ă  nous tendre dans une raideur dĂ©sespĂ©rĂ©e pour nous rendre conforme Ă  ce qu'il faudrait que nous soyons pour que Dieu daigne enfin abaisser son regard sur Bonne Nouvelle de l'Ă©vangile, c'est que Dieu vient vers nous, et qu'il nous aime en son Christ, et qu'il aime notre vie. Le sacrement de l'eucharistie en est un signe fort quand il fait du petit pain de nos nos existences » le signe de sa prĂ©sence Bonne Nouvelle, c'est qu'il transforme nos vieux dĂ©mons en diables de papier », comme l'Ă©crivait encore Maurice Bellet, et qu'il fait de nos fautes de vieilles peaux mortes qui sont tombĂ©es au lever du petit matin de Bonne Nouvelle, c'est que Dieu est grĂące en nous, c'est-Ă -dire don, cadeau, simple abondance et parfaite charitĂ©. Et que le cadeau qu'il nous fait, c'est notre vie, notre libertĂ©, notre joie d'exister, notre communion avec tous les ĂȘtres et avec les frĂšres qu'il nous vraie Bonne Nouvelle, c'est la foi querien ne peut nous sĂ©parer de cet insaisissable amour venu d'En-haut que nous ne pouvons ni reproduire ni maĂźtriser, bienheureuse impuissance-La grĂące nous projette hors de la prison de nos angoisses et de nos peurs. La vraie Bonne Nouvelle, c'est qu'il nous aime non pas malgrĂ© nos pauvretĂ©s, mais au travers celles-ci. Il les arrache Ă  cette culpabilitĂ© qui nous abime comprenons trop peu la Bonne Nouvelle de la pouvons avec les meilleurs intentions du monde nous dĂ©vouer, nous engager, nous consacrer. Mais tout cela n'a de sens que si nous gardons dans notre coeur l'Ă©tonnement que devait avoir le paralysĂ© de l'Ă©vangile quand JĂ©sus lui a dit LĂšve-toi ! Et marche ! »..La Bonne Nouvelle de l'Ă©vangile, c'est un appel Ă  cri qui nous appelle Ă  exister peut-ĂȘtre quelque chose comme ça, ĂȘtre parfait comme le PĂšre ».Exister n'y a que ça d'intĂ©ressant-
Parcequ'il y a plein de petites choses que l’on fait toutes au quotidien et qui agacent profondĂ©ment les mecs, voici notre top 12 des situations qui rendent les mecs fous de jalousie. Pour Paroles de la chanson Elena par Kofs Dis moi pourquoi tu ne me lĂąches pas Je te vois partout mĂȘme dans mes rĂȘves A l'Ă©poque je t'aimais, je le nie pas Maintenant j'aimerais bien que t'arrĂȘte J'entend parler de toi de partout Evidemment toi tu n'entends rien T’inquiĂšte je connais bien ton parcours Je te connais moi, je sais d'ou tu viens La premiĂšre fois que je t'ai vu, c'Ă©tait dans une cave C'est vrai que j'Ă©tais exciter, content de te voir C'est vrai que j'Ă©tais grave super content de t'avoir Sans savoir ton histoire, ton cotĂ© noir Puis avec le temps tu te faisais plus trop rare Ton nom ressortait que dans les salles histoires Tu traĂźnes dans tout les quartiers, tout les boulevards T'as fais pleurer des familles Elle est toujours avec moi quand je dors Et ça mĂȘme quand les ennemis m'attendent C'est vrai qu'elle a tuer beaucoup de potes Mais elle m'a aidĂ© Ă  remonter la pente La petite Elena vient de l'Est, elle a pas de coeur La petite Elena vient de l'Est, mais celle-lĂ  y'a personne qui l’apaise Les jeunes d'ici disent que t'es charmante Que tu les attires, que t'es canon Mais c'est que pour tirer leurs coups Pour t'avoir ils diraient pas non T'attires que les voyous, les mecs fous C'est chaud avec toi ce que les mecs font A cause de toi maman elle dort plus C'est chaud t'as rendu toutes les mĂšres folles J'aimerais ne plus jamais de ma vie te croiser Je ne veux mĂȘme plus mettre de guitare quand je chante Je sais que t'es folles, que t'as tendances Ă  pĂ©ter les plombs Mais je t'en supplies laisse les dans la chambre, laisse les dans la chambre Et oublies mes frĂšres, t'as dĂ©truit nos rĂȘves Je sais que t'as saisie, si on a besoin t'inquiĂšte on te fera signe Mais pour l'instant retourne chez toi, retourne en Russie Elle est toujours avec moi quand je dors Et ça mĂȘme quand les ennemis m'attendent C'est vrai qu'elle a tuer beaucoup de potes Mais elle m'a aidĂ© Ă  remonter la pente La petite Elena vient de l'Est, elle a pas de cƓur sur elle La petite Elena vient de l'Est, mais celle-lĂ  y'a personne qui l’apaise Elle est toujours avec moi quand je dors Et ça mĂȘme quand les ennemis m'attendent C'est vrai qu'elle a tuer beaucoup de potes Mais elle m'a aidĂ© Ă  remonter la pente La petite Elena vient de l'Est, elle a pas de cƓur sur elle La petite Elena vient de l'Est, mais celle-lĂ  y'a personne qui l’apaise Elle est toujours avec moi quand je dors Et ça mĂȘme quand les ennemis m'attendent C'est vrai qu'elle a tuer beaucoup de potes Mais elle m'a aidĂ© Ă  remonter la pente La petite Elena vient de l'Est, elle a pas de coeur sur elle La petite Elena vient de l'Est, mais celle-lĂ  y'a personne qui l’apaise Jveux que ça je m'en fous de briller Je n'souhaite pas devenir une star juste customiser la misĂšre En Gucci, Louis, Burberry, PGP Blackberry J'dĂ©fends dans la surface comme John Terry Oui c'est terrible ! J'recompte, j'recompte, j'recompte (x5) [Desko] Big up Ă  mes ennemis, j'suis dans l'carrĂ© VIP ils ont l'dĂ©mon 2. Si vous n'aimez que ceux qui vous aiment, quel grĂ© vous en saura-t-on, puisque les gens de mauvaise vie aiment aussi ceux qui les aiment ? - Et si vous ne faites du bien qu'Ă  ceux qui vous en font, quel grĂ© vous en saura-t-on, puisque les gens de mauvaise vie font la mĂȘme chose ? - Et si vous ne prĂȘtez qu'Ă  ceux de qui vous espĂ©rez recevoir la mĂȘme grĂące, quel grĂ© vous en saura-t-on, puisque les gens de mauvaise vie s'entre-prĂȘtent de la sorte, pour recevoir le mĂȘme avantage ? - Mais pour vous, aimez vos ennemis, faites du bien Ă  tous, et prĂȘtez sans en rien espĂ©rer, et alors votre rĂ©compense sera trĂšs grande, et vous serez les enfants du TrĂšs-Haut, parce qu'il est bon aux ingrats, et mĂȘme aux mĂ©chants. - Soyez donc pleins de misĂ©ricorde, comme votre Dieu est plein de misĂ©ricorde. Saint Luc, ch. VI, v. de 32 Ă  36. Ensuite parce que les prĂ©jugĂ©s sont confortables : vous dĂ©clarez que tous les Juifs sont des voleurs, et ça y est, vous avez votre opinion sur tous les Juifs du monde ; plus besoin de rĂ©flĂ©chir, il suffit que vous voyiez un Juif pour le cataloguer comme voleur, et c'est tout ! Alors que la culture, et Ă  plus forte raison l'esprit critique, implique de rĂ©flĂ©chir, de nuancer, d
Nous savons que depuis des millĂ©naires, nous avons d’un cĂŽtĂ© “les gentils” et de l’autre, “les mĂ©chants.” C’est du moins ainsi que l’entendent de nombreuses personnes, rĂ©putĂ©es gentilles. En somme, nous avons les forces de la lumiĂšre qui luttent contre les forces des tĂ©nĂšbres. Prout ! Bien entendu, dans chacun des deux camps, le vilain, c’est l’autre, n’est-ce pas ! Si on se base sur l’observation de certains qui se prĂ©tendent impartiaux ben tiens !, la paix ne pourra rĂ©gner sur la Terre tant que les mĂ©chants demeureront cons en plus d’ĂȘtre mĂ©chants. OK, mais est-ce bien la faute des “mĂ©chants” si rien n’évolue depuis des millĂ©naires ? Et si c’était la faute des “gentils“, en fait ? Ça vous la couperait, hein ? Cest pourtant ce qu’enseigne la psychologie Ă©sotĂ©rique, du moins aux oreilles les moins frileuses
 Selon cette antique science du “bien vivre sa recherche spirituelle”, ce serait les ĂȘtres qui se targuent d’ĂȘtre lumineux qui seraient responsables du fait que rien n’évolue parmi les “vilains pas beaux mĂ©chants de partout.” Car s’il existe deux camps possibles bon/mĂ©chants, le seul fait de se cramponner Ă  l’une quelconque de ces deux appartenances, oblige la partie adverse Ă  se contenter du camps restant. Le simple fait de se dĂ©crĂ©ter “gentil” engendre le pĂŽle opposĂ© complĂ©mentaire, les vilains pas beaux ! Autrement dit, le seul fait de vouloir ĂȘtre “bon” d’une vie Ă  l’autre, a obligĂ© certaines Ăąmes humaines d’un mĂȘme Soi Naturel s’entend Ă  se cantonner au rĂŽle peu enviable de “mĂ©chants.” Ceci n’est guĂšre charitable, ne croyez-vous pas ? Il est dit “Aimez vos ennemis” si, si, c’est dit comme ça, jurĂ© crachĂ© ! Mais comment rĂ©ussir Ă  aimer cet ennemi si on dĂ©teste dĂ©jĂ  le rĂŽle qu’il joue, cela au point de se faire tuer plutĂŽt que de devoir s’investir de son rĂŽle et de sa place, pourtant seule maniĂšre de “pardonner” vraiment, la vision que nous avions de lui ? Aux gendarmes et aux voleurs, quel camps choisissiez-vous, Ă©tant gamins ? Les mystiques, les sages, les Ă©sotĂ©ristes, les occultistes et autres “iques” ou “istes” sont de trĂšs mauvais joueurs ! Leur rĂŽle leur plaĂźt tellement qu’il prĂ©fĂšrent se contenter d’aimer leurs ennemis mais
. De loin ! Pas question de prendre leur place et de leur donner celle du gentil lumineux jusqu’à l’anus ! Alors voici ce que prĂ©conisent les psychologues Ă©sotĂ©ristes, et permettez-moi de vous prĂ©senter les faits sans dĂ©tours et en termes modernes, voire un brin teintĂ©s de trivialitĂ© “Âmes prĂ©tendument lumineuses, arrĂȘtez de vous la pĂ©ter ! Puisque l’ennemi en face de vous est un frĂšre, offrez-lui la seule chose qui dĂ©chirerait votre cƓur Ă  la seule idĂ©e de lui offrir votre place ! Si on vous frappe, frappez aussi ! Valez-vous plus que votre frĂšre ? Continuerez-vous Ă  chercher sans cesse Ă  l’humilier et Ă  l’écraser de votre prĂ©tendue supĂ©rioritĂ© spirituelle ? Si on se comporte envers vous comme un cochon, osez enfin grogner avec les porcs, car si vous ne le faites pas, vous ne valez pas mieux que des cochons vous-mĂȘmes. Et s’il vous faut endossez le vĂȘtement usĂ© de votre ennemi, faites-le avec bonne grĂące, car c’est pour vous la seule façon de lui prouver que vous le respectez vraiment.” — Pour bien comprendre ce sujet d’une rare subtilitĂ© et ne verser dans aucun excĂšs, il faut se souvenir qu’à la base, nous sommes “des anges dĂ©guisĂ©s en humains” Nota cette assertion n’a pas Ă  ĂȘtre juste, elle sert juste Ă  rĂ©sumer le propos, c’est tout Si nous donnons la prĂ©pondĂ©rance Ă  notre partie divine ou essentielle, nous trahissons notre vƓux de devenir humains et de jouer pleinement le Jeu de la Conscience, ceci en assumant cette partie librement consentie. Si nous donnons la prĂ©pondĂ©rance Ă  notre humanitĂ©, cela au point d’en oublier “Qui nous sommes vraiment”, nous pouvons nous transformer en l’un de ces monstrueux animaux de foire et trahir ainsi notre partie divine qui existera nĂ©anmoins mais en arriĂšre plan pas pour nous. L’idĂ©e n’est ni de se la jouer Grand MaĂźtre initiĂ© jusqu’au slip, ni de se comporter comme un porc juste pour ne pas vexer par notre lumiĂšre les plus cochons d’entre nous ! L’idĂ©e est de bien comprendre ce qui se passe lĂ , sur Terre, maintenant, dans notre vie et sous notre nez ! Et il se passe que si le cochon peut nous instruire en se comportant tel un immonde porc, alors notre refus de l’aimer et de l’accepter “en l’état” par exemple consiste en notre part du marchĂ© des relations humano-animiques si le terme vous plaĂźt, je vous le vend ! Plus simplement encore, on va dire que vous avez vous-mĂȘmes le devoir fraternel d’ĂȘtre le karma de celui qui joue au chieur de premiĂšre sous l’excuse d’ĂȘtre votre propre karma ! Si vous faites mine de l’aimer tel qu’il est, de le pardonner, de voir en lui seulement le frĂšre, etc et une petite gĂąterie, aussi, non ? que faites vous en vĂ©ritĂ© ? Eh bien ! Je vais vous le dire, moi, ce que vous faites “Vous devenez coupable de guerre et de lĂąchetĂ© spirituelle Ă  chaque fois que vous ne jouez pas le rĂŽle que la vie vous a dĂ©volu et que vous prĂ©fĂ©rez la solution de facilitĂ© et d’hypocrisie en confrontant une prĂ©tendue lumiĂšre de Prisunic Ă  une vĂ©ritable action nĂ©gative et destructrice.” Il est temps, pour les spiritualistes modernes, de laisser tomber non pas seulement leur ego, qui lui est Ă  sa place et joue dĂ©jĂ  parfaitement son rĂŽle, mais leur Moi-IdĂ©alisĂ©, ce “moi” de procuration inventĂ© pour la circonstance et supposĂ© ĂȘtre capable de leur faire oublier qu’ils ne sont, sommes toutes, que de simples ĂȘtres humains, comme tous les autres, Ă  la seule diffĂ©rence qu’ils le vivent encore plus mal que les autres ! LidĂ©e n’est pas de “rendre le mal pour le mal“, mais vous devez au moins jouer votre rĂŽle d’ĂȘtre humain digne de ce nom. Si vous ĂȘtes indignĂ©, dites-le ! Si vous trouvez que les actes d’autrui sont Ă  gerber, gerbez-leur donc sur la braguette, ça leur apprendra Ă  choisir un comportement un brin plus harmonieux ! Nota leur vomir dans le corsage si ce sont des femmes, est aussi autorisĂ© par Dieu si vous ĂȘtes capables de vous l’autoriser. Bref, vous l’avez compris, jouer le jeu Ă©quivaut Ă  rĂ©agir “tel que vous” et non plus “tel que cette version idĂ©alisĂ©e de vous-mĂȘmes.” Vous ne deviendrez pas meilleur en trichant, vous serez simplement l’ombre de ce que vous auriez pu ĂȘtre, si vous aviez seulement Ă©tĂ©, vĂ©ritablement. Serge Baccino Note Sauf pour les images, trouvĂ©es sur le Web et rĂ©putĂ©es libres et gratuites
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